Monsieur Gallet, Décédé

Georges Simenon

Fayard - Février 1931

Tags :  Roman d'enquête Flic Années 1930 Moins de 250 pages

Edition originale

Un avis personnel...

Publié le : 11 décembre 2009

Du point de vue de la chronologie rédactionnelle, et non de l'ordre de parution des œuvres, Monsieur Gallet, Décédé n'est pas la première enquête du commissaire Maigret. C'est dans Pietr-le-Letton qu'a été officiellement créé le personnage. Car celui-ci est apparu préalablement dans quatre proto-Maigret signés sous des pseudonymes et n'appartenant pas à la série dite officielle.
Dans ce premier Maigret publié, le commissaire est chargé du meurtre d'un représentant de commerce. Bientôt il découvre des identités multiples utilisées par l'homme durant ses voyages professionnels, à l'insu de sa famille. L'intrigue est rondement menée et se lit aisément. C'est pourquoi j'aime tant le cycle des Maigret car il correspond à mon mode de lecture : atmosphères lourdes, petite bourgeoisie, prose simple et efficace, polar vif et roman à lecture rapide. Les Maigret ne dépassant jamais les deux cents pages sont des œuvres à savourer comme un apéritif au comptoir : le plaisir arrive vite et on attend avidement le prochain.


Vous avez aimé...

Quelques pistes à explorer, ou pas...

Les dix-neuf premiers Maigret de la "période Fayard" de 1931 à 1934. La Nuit du Carrefour, La Tête d'un Homme

Le début...

Les dix premières lignes...

La toute première prise de contact entre le commissaire Maigret et le mort, avec qui il allait vivre des semaines durant dans la plus déroutante des intimités, eut lieu le 27 juin 1930 en des circonstances à la fois banales, pénibles et inoubliables. Inoubliables surtout parce que, depuis une semaine, la Police judiciaire recevait note sur note annonçant le passage à Paris du roi d'Espagne pour le 27 et rappelant les mesures à prendre en pareil cas (…)


La fin...

Quatrième de couverture...

La toute première prise de contact entre le commissaire Maigret et le mort, avec qui il allait vivre des semaines durant dans la plus déroutante des intimités, eut lieu le 27 juin 1930 en des circonstances à la fois banales, pénibles et inoubliables. Inoubliables surtout parce que, depuis une semaine, la Police judiciaire recevait note sur note annonçant le passage à Paris du roi d'Espagne pour le 27 et rappelant les mesures à prendre en pareil cas. Or, le directeur de la P.J était à Prague, où il assistait à un congrès de police scientifique. Le sous-directeur avait été appelé dans sa villa de la côte normande par la maladie d'un de ses gosses.


L'auteur(e)...

Sa trombine... et sa bio en lien...

Georges Simenon










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Du même auteur...

Bibliographie non exhaustive... Seuls sont indiqués ici les ouvrages chroniqués sur le site.

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