Max Allan Collins

Un avis personnel...

Publié le : 04 juin 2007

Recommandé Une dizaine d'années se sont écoulées entre cette histoire et Un Candidat de Choc. Quarry est gérant du même genre d'établissement dont il était propriétaire dans le roman précité.
Il mène son petit train train quotidien qui lui convient parfaitement mais quand il voit deux anciens membre de la pègre de Chicago, sa curiosité l'emporte. Il s'aperçoit que le "couple" a enlevé une jeune fille dont le père est un riche magnat de la presse. Après moult péripéties, il la sauve et demande une rançon au père de la fille.
Quelques mois après l'échange, Jonah Green — le magnat de la presse — l'engage pour tuer une bibliothécaire...

Max Allan Collins renoue avec le personnage de Quarry presque dix ans après Un Candidat de Choc.
Cette fois-ci, il développe plus son personnage et fait davantage appel à ses sentiments envers la cible qui se révèle être une jolie bombe blonde.
Mais ne vous inquiétez pas, Quarry est toujours aussi brut de décoffrage et aussi direct que par le passé.
Enfin, la scène d'action finale est digne des meilleurs films hollywoodiens. Alors rien que pour cette scène et l'histoire d'amour qui se profile à l'horizon ne ratez pas ce bouquin !

Vous avez aimé...

Quelques pistes à explorer, ou pas...

Désolé, pas d'idée.

Le début...

Les dix premières lignes...

Il y avait longtemps que trouver le sommeil ne me posait plus aucun problème.
Je dormais comme un ange depuis que ces putains de pilonnages intensifs avaient cessé, une ou deux vies plutôt. Je ne suis pas un insomniaque chronique. Certains ont tendance à croire que les types qui gagnent leur vie en prenant celle des autres font des tas de cauchemars. En vérité, les individus qui optent pour de telles activités ne sont pas du genre à se biler pour un rien (...)

La fin...

Quatrième de couverture...

Quarry, le fameux tueur à gages, a pris sa retraîte depuis longtemps quand un magnat de la presse vient lui offrir une somme colossale pour executer un dernier contrat, simple en apparence. En apparence seulement, car qui peut bien vouloir refroidir une biblothécaire ?