Gallimard / Série Noire - 1956 - Traduction (anglais) : Henri Robillot
Publié le : 31 janvier 2006
Justicier au grand cour légèrement paumé, belle blonde, docks, bateau à voile, gangsters pas commodes, haute mer, quelques diams et un avion sous
l'eau.
Monsieur Williams nous entraîne dans un récit enchâssé où il fait bon patauger. Un bon polamour où la lumière et l'espoir des romans marins de Williams finissent par nous inonder.
Quelques pistes à explorer, ou pas...
Le terrible Calme Blanc du même Charles Williams.
Les dix premières lignes...
Le spectacle avait quelque chose de fantomatique. Le second et les deux
matelots qui étaient montés à bord s'entre-regardaient, n'en croyant
pas leurs yeux.
Pas la moindre trace de violence ou même de maladie sur le bateau. Le golfe lui-même était d'humeur débonnaire depuis des semaines.
Les voiles du bâtiment se gonflaient légèrement dans la brise du soir. La
roue du gouvernail était aiguilletée et le bateau glissait sans heurts,
cap au sud, vers le détroit de Yucatan (...).
Quatrième de couverture...
La Mare aux Diams contient ces ingrédients de haut goût : la mer, un yacht, un trésor coulé, une fille en détresse, deux tueurs sans merci, un capitaine à la dérive et un dénouement percutant, comme une mine de
fond.
Sa trombine... et sa bio en lien...
Informations au survol de l'image...