Jacques Dutertre

Biographie succincte...

Jacques Dutertre est ingénieur de Centrale Lille et Master of Sciences de Rice University (USA). Tout au long de sa carrière dans les relations commerciales internationales, il s'est passionné pour les questions de gestion de patrimoine, ce qui l'a conduit à rejoindre une société spécialisées en placements. Après une carrière dans le domaine des relations commerciales internationales, il a transformé sa passion en profession en travaillant notamment avec Patrimex, une société spécialisée dans les placements financiers.

(présentation de l'éditeur)

Jacques Dutertre est un auteur plutôt prolifique, mais tardif et éclectique. Il avait en effet nettement dépassé la cinquantaine quand, en 2001, parut son premier livre (Devenir Millionnaire chez First Éditions). À ce jour, au total, il a publié une dizaine de livres de nature pratique, sur des sujets très variés allant de la Bourse et des finances aux arnaques en passant par le jeu et les résidences secondaires.
Quel que soit le sujet de ses livres, qu'il s'agisse d'un ouvrage pratique, d'un essai historique ou d'un roman, Jacques Dutertre s'attache à écrire des œuvres faciles à lire. En particulier, ses romans se lisent un peu à la manière d'un scénario de film ou – c'est à ses yeux une qualité – d'une bande-dessinée.
Ce qu'il souhaite, avant tout, c'est que celles et ceux qui lisent ses romans passent un bon moment. Il est comblé quand ses lecteurs lui disent qu'ils ont oublié, le temps de la lecture, tous leurs soucis.
Distraire, encore distraire, toujours distraire, tel est, s'agissant de romans ou d'essais historiques, son objectif primordial…

Un commentaire personnel...

Publié le 06 décembre 2006

Jacques Dutertre n'est pas un spécialiste du polar, mais il faut lui rendre hommage quant à sa capacité à construire une intrigue. Malgré tout, il pêche à mon sens par excès de "légèreté". Bien sûr, c'est un choix de sa part ; il affirme haut et fort qu'il n'aspire qu'à une chose : détendre son lecteur. Reste que cette "distraction" se fait aux dépens d'une profondeur qui fait défaut. Lorsque le ton est léger, les personnages se doivent d'être crédibles. À trop vouloir enrober, édulcorer, on finit par trop s'éloigner de la réalité qui est aussi, et heureusement, la matière première du polar.