Max Allan Collins

Un avis personnel...

Publié le : 13 janvier 2007

Recommandé Deux hommes entrent dans une boutique d'antiquités tenu par un viel excentrique et le descendent en piquant un magot de près d'un million de dollars. Mais un homme va rechercher le fric et part dans une croisade vengeresse.
Le personnage de Nolan est fortement inspiré du personnage de Parker crée par Mr Stark (Donald Westlake) qui est l'influence première de Collins.
Au début du bouquin on s'attend à une histoire banale de vendetta mais le livre offre plus de subtilité que prévu. De plus la fin est inattendue.
Les seconds rôles sont truculents malgré les clichés volontaires (avocat véreux de la Famille).
Sur fond de course au sac, Collins nous parle des querelles de "Famille" qui sont plus importantes à leurs yeux que l'argent.

Pour ceux qui aime la série des Parker, les gangsters vieillissants, les peux bavards, les sulfateuses et les jolies filles, lisez ce livre vous ne serez pas déçu.
Pour les autres lisez le aussi.

Vous avez aimé...

Quelques pistes à explorer, ou pas...

Peut-être un tour chez Richard Stark, à la poursuite de Parker...

Le début...

Les dix premières lignes...

Les deux hommes, assis dans la voiture, attendaient. Le chauffeur avait environ 55 ans et le visage ferme de quelqu'un qui a pris la résolution d'agir. Son jeune compagnon - 25ans à peu près - semblait plein d'appréhension. Ils portaient tous les deux une chemise hawaïenne imprimée et un short de couleur vive. Entre eux, sur la banquette, se trouvait une grande boîte de carton pleine de vieux journaux. Sous les journaux, les armes, deux automatiques Smith & Wesson neuf millimètres munis de silencieux (...)

La fin...

Quatrième de couverture...

Le rêve de Nolan, cambrioleur de haut vol, était de posséder un restaurant ultra chic. En attendant de pratiquer le coup de fusil à tout va, il s'exerçait aux coups de revolver tous azimuts. Car un vieux dingue de la Mafia venait de lui piquer l'argent qu'il avait gagné, très honnêtement, en braquant une banque. À qui se fier, je vous le demande !