Frédérick Houdaer

Biographie succincte...

En forme d'autoportrait glané sur le site de l'auteur :
Le 25 juillet 1969, le film La Horde Sauvage sort sur les écrans, et je sors du ventre de ma mère (Paris 12e, Clinique des Diaconesses).
Aujourd’hui, j’habite Lyon (le plateau de la Croix-Rousse), dans un H.L.M hors de prix.
Cinq livres publiés à ce jour (quatre romans, un recueil de poèmes).
Une soixantaine de textes (nouvelles, poèmes) publiés dans diverses revues françaises et québécoises (des Cahiers de Poésie-Rencontres à Newsbourse !). Début 2001, une dizaine de mes textes est retenue pour l'anthologie Les Nouveaux Poètes Français publiée aux éditions Les Lettres du Temps - Jean-Pierre Huguet.

Je lis, relis, relie Selby, Jim Thompson, Melville (Herman et Jean-Pierre!), Fante, Calaferte, Djian, Ramuz, Céline, Cendrars, Brautigan, Miller (Henry), Michaux, etc.

J’ai exercé de nombreux petits métiers (trieur de verre, vendeur au porte-à-porte, agent d'accueil au Foyer Notre-Dame des Sans Abri, veilleur de nuit dans une résidence de personnes âgées, critique littéraire).
Animateur d’ateliers d’écriture depuis quatre ans.
En 2002, résidence d’auteur à Montréal grâce à l’Arald.
Bourse du C.N.L en 2003.

Un commentaire personnel...

Publié le 15 mai 2007

J’ai découvert Houdaer avec son excellent — il est des bouquins, comme celui-ci qui devraient être remboursés par la sécurité sociale — recueil de poésie Angiomes (aux éditions La Passe du Vent) que Renaud Marhic m’avait mis entre les mains, une fin d’après midi, dans un petit rade de Brest. Il est clair que la poésie colle aux basques du monsieur et qu’il l’emmène jusque dans ses romans. M’est avis que nous tenons là un auteur en phase de recherche qui n’a pas dit son dernier mot.