Alexandra Marinina

Biographie succincte... Bibliographie sélective et non exhaustive...

Alexandra Marinina

Biographie succincte...


Alexandra Marinina est née le 16 juillet 1957 à Lvov. Elle a vécu à Léningrad (aujourd'hui Saint-Pétersbourg) avant de s'en aller poursuivre des études à la faculté de droit de Moscou. Devenue lieutenant de police, elle entre à l'Académie du Ministère de l'Intérieur de l'URSS pour y étudier la criminologie. En 1994, elle devient rédactrice en chef du service d'édition de l'Institut Juridique Moscovite du Ministère de l'Intérieur de Russie. Elle prend sa retraite en 1998 avec le grade de lieutenant-colonel de police.

Trois ans plus tard, elle débute sa nouvelle carrière d'auteur, avec Le Séraphin à Six Ailes, écrit en collaboration avec un collègue, Alexandre Gorkine. Ensuite, c'est seule qu'elle reprend la plume, pour Concours de Circonstances, publié en 1993. Anastasia Kamenskaïa, qui deviendra le personnage récurrent d'Alexandra Marinina y apparaît pour la première fois. Depuis, l'auteur a publié une trentaine de romans.


Un commentaire personnel...

Publié le 1er novembre 2006

Alexandra Marinina est un phénomène de l'édition russe (plus de vingt millions de livres écoulés !). Elle connaît les moindres secrets du fonctionnement de la brigade criminelle de Moscou, et ne se prive pas de nous brosser des fictions probablement plus que proches de la réalité !

Heureusement, elle a su créer un personnage qui permet à son œuvre de se distancier de la noirceur et la rudesse de ce qu'est la Russie d'aujourd'hui. Sur fond de guerre en Tchétchénie et de magouilles entre anciens apparatchiks, Anastasia Kamenskaïa fume comme un pompier, se trimballe sans arme dans un Moscou inquiétant, relègue son fiancé dans la cuisine pour ne pas être dérangée pendant ses intenses réflexions ou durant les rendez-vous professionnels qu'elle accorde dans son appartement…

Alexandra Marinina

Bibliographie sélective...

et non exhaustive... Seuls sont indiqués ici les ouvrages chroniqués sur le site.

Ne Génez pas le Bourreau