André-Pierre Diriken

Biographie succincte...

(en forme d'autoportrait)
Où vais-je, qui suis-je, dans quel état j'erre ? Finalement, cela n'a pas beaucoup d'importance. Mais, pour satisfaire la curiosité des Internautes, je vais lever un petit coin du voile.
Je suis chirurgien-dentiste, né le 21 juin 1959. Je suis marié et heureux papa d'un petit garçon. Passionné d'écriture depuis ma plus tendre enfance, j'ai tout simplement réalisé un rêve. Celui de devenir écrivain. C'est tellement facile. Vous écrivez un livre et ça y est. Enfin presque...
Lorsque j'ai commis La Pendue d'Outremeuse, je n'imaginais pas l'engouement que ce roman susciterait auprès de mes compatriotes. Et, j'avais du mal à envisager qu'un critique français de la célèbre revue policière Temps Noir, Sophie Colpaert, pour ne pas la nommer, puisse tomber sous le charme de mon matou policier.
Depuis, le phénomène s'est répété plusieurs fois dans l'Hexagone. Alors tout espoir est permis... Mais, ce n'est qu'un début ! Un jour peut-être, Cawèlêr sera aussi célèbre que Sherlock Holmes, Maigret ou plutôt Rintintin. Seulement, la route est encore longue et semée d'embûches... Peut-être aussi, tout cela ne sera qu'un feu de paille ou qu'un rêve qui s'évanouira. En attendant, l'aventure continue et je vous invite à m'accompagner dans mes délires...
(cf. www.livresse.com)

Un commentaire personnel...

Publié le 28 février 2005

Cet homme là aime la vie, ou c'est au moins ce qu'on est en droit de penser à la lecture de ses ouvrages et à la rencontre de son univers particulier, peuplé, au premier plan, d'un commissaire de la police liégeoise affublé d'un chat "causeur" et doté de pouvoirs quelque peu paranormaux (il hypnotise parfois quelques témoins récalcitrants), et au second plan de personnages grandioses tous plus loufoques les uns que les autres.
Un grand plongeon de fraîcheur, dans un style soigné où l'amour de la langue française, de ses défauts comme de ses qualités, se confond à l'humour belge haut en couleur, et à la truculence des expressions liégeoises dont regorge le texte (rassurez-vous, tout est aimablement traduit à l'intention des non-initiés). Un soupçon de misogynie, mais qui n'est autre qu'une figure de style (là encore) ; il suffit pour s'en convaincre de reprendre l'origine du patronyme de ce merveilleux matou qu'est Cawèlêr...